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A magnificent collaboration between renowned glassmakers Ernest-Baptiste Leveillé and François-Eugène Rousseau, this exquisite pot-pourri urn is a testament to the Japonism period style that they pioneered. Retailed by the prestigious Pannier-Lahoche brothers' L'Escalier de Cristal, this piece features a twisted, multicolored crystal base, adorned with a 24K gold gilt bronze handle and cover. The intricate chrysanthemum decorations reflect the Japanese-inspired aesthetic that defined their work.
France circa 1880s.
In very good condition.
Dimensions in cm ( H x L x l ) : 27 x 16 x 11
François-Eugène Rousseau, known as Eugène Rousseau, was a master glassmaker established in Paris in 1855 as a dealer specializing in porcelain and earthenware. Around 1867, he turned to glass and enlisted the expertise of Eugène Michel to engrave a whole range of glassware in the "Art Nouveau" style. Japanese aesthetics would influence Rousseau's work throughout his career. Ernest-Baptiste Leveillé, a student of François-Eugène Rousseau before becoming his associate, is considered one of the pioneers of Japonism in France. In 1867, the Appert brothers in Clichy produced the first glassware models designed by Ernest Leveillé. Leveillé continued Rousseau's work after his death, having purchased the stock of his workshop on rue Coquillière in 1885. Together, they produced glassware with gilded bronze elements in the Sino-Japanese style for luxury stores such as L'Escalier de Cristal, which commissioned these types of pieces from their workshops to sell, particularly with the Japanese taste that was in vogue until World War I.
Escalier de Cristal x Pannier-Lahoche :
In 1852, Pierre Isidore Lahoche decided to partner with Emile Pannier, the son of a faience maker and husband of his daughter, Célina Lahoche. The 1850s also marked the beginning of the first World's Fairs, in which the store participated regularly, thus increasing its fame in France and abroad. Eager to attract an ever-growing international clientele, Lahoche and Pannier did not hesitate to cross the Atlantic to showcase their products in New York, where they were awarded a silver medal in 1853. They were also awarded another silver medal at the 1855 Paris World's Fair and received a commission from Napoleon III. The emperor purchased a cut ruby crystal cup with a gilded bronze horn.
Their success stemmed from their ability to follow the fashion and tastes of their time. Moreover, keen to reach a wider clientele, Lahoche and Pannier produced more affordable art objects, thanks to new techniques such as electroplating. The store thus enabled this more modest clientele to acquire "good taste" objects while imagining themselves as part of a higher social class.
The 1862 London World's Fair, where their production earned a bronze medal, was the last one in which the partners participated together. In 1863, Lahoche retired from the business. Emile Pannier, now solely in charge, kept the double name for a few more years to preserve the reputation Lahoche had earned.
The 1867 Paris World's Fair was a very important event for Emile Pannier, as it marked his first participation alone. For the occasion, though he still kept his former partner’s name, he reversed the surnames, placing his name before Lahoche’s. L’Escalier de Cristal once again earned a bronze medal and received widespread praise. The exhibition catalog noted: "Each exhibition is a triumph for L'Escalier de Cristal; its reputation seems unable to grow further, and it could adopt the proud motto of noble houses: I will uphold. But in industry, to uphold means to progress. Mr. Pannier-Lahoche, its young and skillful director, knows this and proves it. The showcases granted to him at the Palais de l’Industrie are too small to contain all the masterpieces from his workshops. He has organized a permanent exhibition at his stores in the Palais-Royal, which better showcases the resources and importance of his establishment. There, in all their splendor, are displayed complete table services of decorated porcelain and crystal, with centerpieces mounted in gilt bronze and old silver, which the house has made a specialty […]".
The high quality of its production attracted an even broader princely clientele. Among the store’s patrons were now the Tsar, the Emperor of Austria, the Kings of Spain, Portugal, Prussia, and Holland, the Dukes of Württemberg, as well as the Princes of Orange and Wales.
Magnifique collaboration entre les verriers Ernest-Baptiste Leveillé et François-Eugène Rousseau, cette urne pot-pourri exquise témoigne du style Japonais dont ils furent les pionniers. Vendue par la prestigieuse maison des frères Pannier-Lahoche, L'Escalier de Cristal, cette pièce présente une base torsadée en cristal multicolore, ornée d'une anse et d'un couvercle en bronze doré à l'or fin 24 carats. Les décorations complexes de chrysanthèmes reflètent l'esthétique d'inspiration japonaise qui définissait leur travail.
France vers 1880.
En très bon état.
Dimensions en cm ( H x L x l ) : 27 x 16 x 11
François-Eugène Rousseau, dit Eugène Rousseau, est un maître verrier établi à Paris en 1855 comme négociant spécialisé en porcelaine et en faïence. Vers 1867, il se tourne vers le verre et s'adjoint les compétences d'Eugène Michel pour graver toute une gamme de verreries dans le style "Art nouveau". L'esthétique japonaise influencera l'œuvre de Rousseau tout au long de sa carrière. Ernest-Baptiste Leveillé, élève de François-Eugène Rousseau avant de devenir son associé, est considéré comme l'un des pionniers du japonisme en France. En 1867, les frères Appert à Clichy produisent les premiers modèles de verrerie dessinés par Ernest Leveillé. Leveillé poursuit l'œuvre de Rousseau après sa mort, ayant racheté le stock de son atelier de la rue Coquillière en 1885. Ensemble, ils réalisent des verreries avec des éléments en bronze doré dans le style sino-japonais pour des magasins de luxe comme L'Escalier de Cristal, qui commandent à leurs ateliers ce type de pièces pour les vendre, notamment au goût japonais en vogue jusqu'à la Première Guerre mondiale.
Escalier de Cristal x Pannier-Lahoche :
En 1852, Pierre Isidore Lahoche décide de s'associer avec Emile Pannier, fils de faïencier et époux de sa fille Célina Lahoche. Les années 1850 marquent également le début des premières expositions universelles, auxquelles le magasin participe régulièrement, ce qui accroît sa notoriété en France et à l'étranger. Soucieux d'attirer une clientèle internationale toujours plus nombreuse, Lahoche et Pannier n'hésitent pas à traverser l'Atlantique pour présenter leurs produits à New York, où ils obtiennent une médaille d'argent en 1853. Ils obtiennent également une autre médaille d'argent à l'exposition universelle de Paris en 1855 et reçoivent une commande de Napoléon III. L'empereur achète une coupe en cristal rubis taillé avec une corne en bronze doré.
Leur succès est dû à leur capacité à suivre la mode et les goûts de leur époque. De plus, soucieux de toucher une clientèle plus large, Lahoche et Pannier produisent des objets d'art plus abordables, grâce à de nouvelles techniques comme la galvanoplastie. Le magasin permet ainsi à cette clientèle plus modeste d'acquérir des objets de "bon goût" tout en s'imaginant appartenir à une classe sociale plus élevée.
L'exposition universelle de Londres de 1862, où leur production obtient une médaille de bronze, est la dernière à laquelle les deux associés participent ensemble. En 1863, Lahoche se retire des affaires. Emile Pannier, désormais seul aux commandes, conserve le double nom pendant quelques années encore afin de préserver la réputation acquise par Lahoche.
L'Exposition Universelle de Paris de 1867 est un événement très important pour Emile Pannier, puisqu'il y participe pour la première fois seul. Pour l'occasion, tout en conservant le nom de son ancien associé, il inverse les patronymes, plaçant son nom avant celui de Lahoche. L'Escalier de Cristal obtient à nouveau une médaille de bronze et reçoit de nombreux éloges. Le catalogue de l'exposition mentionnait : "Chaque exposition est un triomphe pour L'Escalier de Cristal : "Chaque exposition est un triomphe pour L'Escalier de Cristal ; sa réputation ne semble pas pouvoir grandir davantage et il pourrait adopter la fière devise des maisons nobles : Je maintiendrai. Mais dans l'industrie, maintenir, c'est progresser. M. Pannier-Lahoche, son jeune et habile directeur, le sait et le prouve. Les vitrines qui lui sont accordées au Palais de l'Industrie sont trop petites pour contenir tous les chefs-d'œuvre de ses ateliers. Il a organisé dans ses magasins du Palais-Royal une exposition permanente qui met mieux en valeur les ressources et l'importance de son établissement. Là, dans toute leur splendeur, sont exposés des services de table complets en porcelaine décorée et en cristal, avec des centres de table montés en bronze doré et en vieil argent, dont la maison s'est fait une spécialité [...]".
La qualité de sa production attire une clientèle princière encore plus large. Parmi les clients du magasin figurent désormais le tsar, l'empereur d'Autriche, les rois d'Espagne, du Portugal, de Prusse et de Hollande, les ducs de Wurtemberg, ainsi que les princes d'Orange et de Galles.
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